Dans nos jours on sent tous le manque de la paix.
Semble que les ténèbres de la haine ont envahies le monde. La peur fait constamment
sa vole sur beaucoup des gens qui non plus le courage de réagir ou qui ne réussissent
plus que de s’en fuir, dans la recherche d’un lieu plus sure. Si la religion
peut être utilisé pour ses propres intérêts, il y a des gens qui pointent le
doigt sur la croyance en Dieu, croyance qui peut porter différents habits mais
qui n’ont pas réussit que augmenter les distances d’entre les hommes. Mais ceux
qui cherchent en vérité Dieu on un autre réponse. C’est une réponse honnête
parce que il observe les besoins et travaille pour le bien des tous, spécialement
pour le bien des plus faible.
Nous nous rappelons de l’initiative du saint pape
Jean-Paul II qui a invité les représentants des grandes traditions religieuses
à Assise pour la « Journée mondiale de prière pour la paix ». C’été
le 27 octobre 1986. C’été une mis en acte du Concile Vatican II (la déclaration
Nostra etate) qui a marqué un réel
changement de perspective dans la manière dont l’Église
regarde les autres confessions chrétiennes et les autres religions. Le pape
Jean-Paul II considéré que la paix n’est pas seulement la trêve des armes, ou
le résultat de négociation : paix et prière sont indissociables à ses yeux et
les religions ont une responsabilité spécifique dans l’histoire de l’humanité.
Trente ans après Jean-Paul II, le
Pape François s’est rendu à Assise le 20 septembre pour la rencontre
interreligieuse sur la paix, organisée par la communauté Sant’Egidio. Le nome
de la rencontre internationale organisée du 18 au 20 septembre a été « Soif de
paix ». Entre les 450 responsables religieuses ont participé Bartholomée Ier, le patriarche de Constantinople et Justin Welby,
l’archevêque de Canterbury.
Le président de la communauté Saint‘Egidio, Marco
Impagliazzo, déclarait que l’esprit au-quelle a été vécu le rencontre veut
parler d’une désolidarisation de la violence des religions, dans un contexte
marqué par le terrorisme. La rencontre veut être l’écho des peuples qui
souffrent, et non seulement des leaders.
«Seule la paix est sainte, pas
la guerre !» a répété à deux reprises le Saint-Père, sous les
applaudissements. «Aucune forme de violence ne représente la
vraie nature de la religion», a souligné le Pape, citant son
prédécesseur Benoît XVI.
Le pape François a dénoncé aussi le paganisme de
l’indifférence face à ceux qui souffrent. Des mots forts pour condamner le
virus qui paralyse, qui rend inerte. «Nous sommes venus à Assise
comme pèlerins en recherche de paix», a ajouté François. Il a
rappelé les conflits oubliés, la souffrance que vivent les réfugiés, l’angoisse
des peuples qui ont soif de paix.
«Nous n’avons pas d’arme, mais
nous avons la force de la prière», a déclaré le Saint-Père devant
des dizaines de croyants, faisant écho aux mots de Jean-Paul II il y a trente
ans. «Nos traditions religieuses sont diverses, mais aujourd’hui, nous
avons prié les uns à coté des autres, les uns pour les autres». C’est
la prière et la volonté de collaboration qui permettront une vraie paix. La
Paix, un mot si simple et en même temps difficile, a reconnu François. «Paix veut dire "pardon" qui rend possible de guérir
les blessures du passé. Paix veut dire "accueil". Paix veut dire
"collaboration", un échange vivant avec l’autre. Paix veut dire enfin
"éducation"», a ajouté le Saint-Père : un appel à
acquérir la culture de la rencontre, en purifiant la conscience de toute
tentation de violence, contraire au nom de Dieu.
« Rien n’est
impossible si nous nous adressons à Dieu dans la prière. Tous nous pouvons être
des artisans de paix ; d’Assise nous renouvelons avec conviction notre engagement
à l’être, avec l’aide de Dieu, avec tous les hommes et toutes les femmes de
bonne volonté », conclue le document Appel
pour la paix d’Assise, signé par tous les leaders religieux, ce qui reste
pour nous tous une invitation pour avoir le courage de marcher vers la conquise
de la paix dans l’esprit du
dialogue, du pardon, de l’amour.
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